À la Distillerie de Camargue, avant de poser une étiquette, on distille à domicile depuis le premier batch du Gin Bigourdan.
Un Original London Dry épris, comme son auteur, de Camargue. C’est lui qui a baptisé le plus bel alambic du quartier, un Holstein en cuivre taillé pour le cousu main qui a dû rentrer le ventre pour passer la porte de l'hôtel particulier de la rue Frédéric Mistral. C'est avec ce Gin Bigourdan que Thomas a appris a choisir les ingrédients, à les assembler avec minutie.
Thomas, distillateur enthousiaste
Thomas Bigourdan n'est ni Camarguais ni Breton même si son nom, d'origine béarnaise, prête à confusion.
À force de fréquenter les alambics et les cueilleurs de simples, il a choisi de quitter le grand confort d'une vie de salarié chez un parfumeur provençal pour créer la Distillerie de Camargue. À Londres, où il a appris à aimer le Gin puis à le distiller, il a choisi un grand professeur, Jamie Baxter. À Arles il a installé son alambic et distillé son premier Gin, parce qu'il est fou de Camargue et qu'il ne se voyait nulle part ailleurs. Aujourd'hui le Gin et le Pastis partagent le même alambic, chacun son tour.

